Soumise trop tôt

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il y a 8 ans

Je m’appelle Coralie et j’ai 25 ans. Ma vie est actuellement bien tracée et c’est à mon Maître que je le dois. Oui, j’ai bien dit mon Maître. Je suis en effet ce qu’on appelle une soumise et j’en suis extrêmement fière. Comment j’en suis arrivée la? C’est ce que je vais vous raconter.

Il y a 10 ans, au mois d’aout, mes parents sont invités à manger chez un ami de mon père, Simon. Bien que je n’aie aucune envie d’y aller, je sens cette fois-ci que je n’y échapperai pas. Je suis en conflits permanent avec mes parents et jusqu'à la dernière minute, je compte bien tout faire pour échapper cette journée galère.

Ca fait bien 5 ans que je mène la vie dure à mes parents, mais il y a une explication à cela. Il faut dire que le décès de ma grand-mère, dont j’étais très proche m’a fait passer du mauvais coté. Jusque là, j’étais une jeune fille modèle et studieuse. J’étais souvent appelée l’intello de la classe tant ma réussite scolaire était belle. Lors de mon passage vers le collège, j’avais une moyenne générale qui a fait dire à mes parents que je perdrai mon temps en 6ème. Mais l’éducation nationale ne l’a pas entendu de cette oreille et cette année scolaire a été marquée par ce tournant dans ma vie. C’est précisément vers novembre que grand-mère est décédée et que j’ai pris un tout autre chemin.

Pour commencer, je me suis enfermée sur moi. Je ne sortais plus pour voir mes copines et beaucoup n’ont pas attendues pour me tourner le dos. Lorsque j’ai remis le nez dehors, j’ai changé mes fréquentations et selon mes parents, je n’ai pas gagné au change. Mes notes scolaires ont commencés= à chuter fortement et ma relation avec mes parents à vite prit du plomb dans l’aile. Je ne supportais plus aucune de leurs remarques sur mes tenues, mon comportement, mes résultats scolaires ou mes fréquentations. Tout devenait sujet à gueuler plus fort qu’eux.

Si j’ai réussis, par miracle à passer vers la 5ème, en revanche, il n’y a pas eu de miracle à l’issue de ma deuxième année au collège. Mon premier redoublement est venu couronner une année gâchée par une nonchalance dans mon travail, dans ma motivation, dans mon sérieux. Je gâchais tout et rien ne pouvais me remettre dans le droit chemin. Au bout de ma deuxième année de 5ème, je suis passée par je ne sais quel miracle en 4ème. Sans doute la bonté des profs ou un forcing de mes parents qui ont « exhibé » mes notes de primaire pour me défendre. L’issue de ma 4ème n’a surpris personne, en tout cas pas moi; J’ai redoublée une nouvelle fois.

Plus que jamais, le conflit qui m’oppose à mes parents est ingérable et je sais, je vois qu’ils ont baissés les bras devant ma déchéance progressive. Il ne passe pas un soir sans que je ne réponde à mes parents, sans que je fasse l’inverse de ce qu’ils attendent, sans que je ne sorte le soir, même avec de l’école le lendemain. Même mon père, pourtant fort de caractère, n’a plus envie de me remettre dans le droit chemin, celui de la stabilité, de la réussite. Ce jour de 1er Mai est un mini événement puisque je finis par céder au chantage de mon père pour les suivre chez ce « con » qui lui sert d’ami. Il faut dire qu’il me menace très ouvertement de ne pas me verser mon argent de poche du mois. Pour le faire chier, je mets une tenue des plus provocantes et pour parfaire ma provocation, je mâche un chewing-gum très bruyamment. Je sais qu’il déteste ça car il dit que ca fait fille négligée.

Pendant le trajet que nous faisons à pieds, car il habite à 10 minutes de chez nous, nous n’échangeons pas un mot. Je marche fièrement devant eux pour bien leur faire honte et qu’ils voient le regard des passants sur moi. Il est vrai que je ne fais pas trop mon âge et avec ma tenue, il est impossible de deviner mon âge réel. Il faut dire que je suis déjà grande pour mon âge et que mes formes de femme ne sont pas en retard pour moi. De plus, la nature m’a dotée de mensurations à faire saliver n’importe quel homme en manque. On a beau être jeune et être un brin naïf sur les rapports hommes-femmes, je n’en reste pas moins consciente de mon pouvoir de séduction auprès des hommes et surtout des garçons de mon collèges ou certains du lycée d’à coté qui ont commencé leur première année.

Et oui, si j’avais fait le nécessaire, je serai avec eux cette année et non en 4ème. Toujours est-il que ce 1er Mai va vraiment être long et ennuyeux. Devant la maison de Simon, une vieille maison de type ancien en pierre très épaisse, sur 3 étages, je sens bien qu’il ne faut pas que je rentre. L’envie de faire marche arrière est très forte, mais la porte s’ouvre et je rentre comme a chaque fois, sans dire bonjour et direction le salon ou j’allume la télé. Vautrée dans le canapé, mon père échange avec son ami célibataire et sans enfants de 25 ans mon ainé. Sa femme a divorcé il y a de ça 3 ans et il n’a pas retrouvé de femme depuis.

« - Tu vois la déchéance? Elle est comme ça partout et à la maison, c’est pire encore. On ne peut plus rien lui dire.

  • Oui, je vois. De plus, ce n’est pas une tenue pour une jeune fille de son âge. Puis si tu veux mon avis…. »

Ils s’éloignent et je n’entends pas le reste de la conversation mais peu importe, ca m’est bien égal. De toute façon, mon père pleure partout à qui veut bien l’entendre que je ne suis plus bonne a rien. Et Simon, son ami d’enfance, est le client idéal pour l’écouter pleurer. Ils sont vraiment pitoyables ces deux la à parler sur mon dos comme ça.

Simon repasse devant moi et je feins de ne pas le voir. Sauf qu’il s’arrête net devant moi me masquant la télé.

« - Vas-y, qu’est ce que tu fous devant moi! Je ne vois plus la télé. »

Sans dire le moindre mot, il chope la télécommande, me chope par l’oreille pour me faire me lever et m’entraine dans la cuisine. Malgré mes injures et mes cris, il ne bronche pas d’un iota sur son idée et une fois dans la cuisine :

« - Si tu veux manger, prépare-toi ton repas toute seule. Ne compte pas sur moi pour t’inviter à ma table.

  • Hein?

  • (Il me gifle. Plus vexant que douloureux) Ne m’interrompt pas quand je parle. Je ne suis pas ton père et ici, tu es chez moi. Donc, si tu veux manger, tu te prépares toi-même ton repas. Tu n’es pas la bienvenue à ma table. Si tu n’étais pas la fille de mon meilleur ami, je t’aurai mise à la porte depuis longtemps déjà. Je ne supporte pas les effrontées mal polie. Comme je ne doute pas de l’éducation que tu as reçue, j’en déduis que tu es juste une gamine irrespectueuse. Aujourd’hui, c’est moi qui commande, tu oublies tes parents. Et je te promets, que tu n’as pas intérêt à désobéir car je ne te louperai pas, fait moi confiance. Et pour finir, ne pense même pas à mettre la cuisine en désordre car sinon, tu vas découvrir ma maison sous des formes que tu n’as clairement pas envie de voir. »

Je ne reviens pas. Quel culot il a ce con ! Avant de sortir de la pièce, il a pris tout ce qu’il lui faut pour eux ce midi et moi, je reste avec un frigo vide et des placards qui résonnent le creux. Ce n’est pas possible que ce ne soit pas préparer à l’ avance. J’ai une tranche de jambon, un morceau de pain et un brin de fromage pour seul repas. Tout le reste est désespérément vide. Pas de conserves, de boites, de yaourts et pas plus de casseroles ou assiettes ne viennent remplir cette cuisine. Tout a été enlevé et mis dans une autre pièce. C’est clairement un coup monté de mes parents. Pour le coup, j’avale rapidement ce que j’ai pour seul repas et je sors de cette pièce vide. Sauf que…la porte est fermée et donc, je suis séquestrée. C’est un vrai détraqué ce con. Vite, la fenêtre. Mais, pas de poigné pour l’ouvrir. Me voila coincée dans la maison d’un fou et j’ai encore faim. J’ai le robinet pour boire, mais pas une goutte ne coule. Il a coupé l’arrivé d’eau aussi. Pas de doutes, c’est un coup monté de toutes pièces. Mes parents et ce vieux con sont complices de ma séquestration. Je patiente donc toute la journée dans cette pièce. Le temps est horriblement long et je vois au dehors le jour qui s’estompe. En mai, la nuit tombe bien au delà de 21h30-22h00 et je suis dans cette cuisine depuis 12h30-13h00 sans soucis. Je suis attirée par l’ouverture de la porte d’où mon père apparait.

« - C’est bien la première fois que tu es sage depuis plus de 5 ans. C’est triste d’en arriver à ça pour te calmer. Simon a raison, il faut être ferme avec toi. Ni ta mère, ni moi ne réussirons à te remettre dans le droit chemin. Maintenant, tu as le choix : Soit nous t’envoyons en pension complète en Allemagne du nord dans une maison de redressement de jeunes filles en échec social ou tu restes ici, chez Simon pour être prise en main par lui. Nous attendons ta réponse maintenant !

  • Mais ça ne va pas la tête. Il n’est pas question d’aller en Allemagne et encore moins de rester ici dans cette maison de fou.

  • Ecoute bien Coralie, Si ta mère et moi choisissons, tu pars pour l’Allemagne dès Juin. Mais nous t’accordons encore le droit de choisir. L’Allemagne ou ici ?

  • Je préfère encore rester ici. Au moins, je verrai toujours mes potes. »

Simon apparait juste derrière mon père et ne laisse présager rien de bon pour la suite des événements.

« - Ne crois pas que tu vas être au Club Med ici. Je vais te dicter les règles de vie à suivre et tout manquement sera très sévèrement puni. Je ne te ferai aucun cadeau et je ne te laisserai rien passer. (Il me tend un petit livret) Voici le règlement intérieur que tu devras suivre sans le moindre travers. Ce règlement a été lu et validé par tes parents. Je ne peux que te conseiller de ne pas dévier de la ligne de conduite qui y est dictée car tu pourrais regretter de ne pas avoir choisis l’Allemagne. Maintenant, suis-moi que je te montre ta chambre.

  • Quoi parce que je dors la ?

  • Tu viens en pension complète chez moi tout comme tu aurais été en pension complète en Allemagne. C’est la seule façon de te dresser jeune insolente. »

Nous montons jusqu’au 3ème étage de cette maison et il ouvre une pièce vide ou un sac de voyage avec toutes mes affaires et un matelas sont les seules mobiliers présents. Dans le sac que j’inspecte, il n’y a que des tenues de merde que je ne porte plus depuis bien longtemps car ce n’est pas ça que j’aime. Ca fait trop fille BCBG d’un classique à mourir. Même les sous-vêtements sont vieux jeu. Pas un seul string et pas d’ensembles dentelle. Il y a que des sous-vêtements en coton de couleur unie d’un moche et d’un ringard à mourir.

« - Il n’est pas question que je porte ces vieilles frusques. Où sont mes jupes et mes robes ?

  • Si tu n’en veux pas, sors toute nue. Mais ne compte pas sur moi pour te donner autre chose. Et je te conseil vivement de lire le règlement intérieur avant le repas du soir. »

Même pas le temps de répondre qu’il sort et m’enferme dans cette pièce. Je balance ce putain de livret au travers la pièce et je m’allonge sur le matelas. Il est dur et très inconfortable. Comment je vais pouvoir dormir là dessus ? Les minutes sont encore très longues et je finis par m’endormir. Le lendemain, je suis réveillée par cet ignoble individu d’une façon très brutale. Tout ce que je déteste le matin. J’ai l’estomac vide car la veille au soir, je n’ai pas mangé et ce n’est pas le repas du midi qui m’a rempli l’estomac.

« - Dans 10 minutes, tu es en bas pour la douche sinon, je te punirai !

  • Ouais, ouais…j’arrive. »

Bien évidemment, je me rendors et lorsque qu’il vient me tirer du lit, je suis clairement à la bourre pour le collège.

«- Tu dois être au collège dans 25 minutes et tu as 20 minutes de trajet à pieds. Je ne peux que te conseiller de te dépêcher.

  • (Je bondis du matelas) Mais je ne vais pas y aller à pieds ?

  • Je ne suis pas Taximan et ne compte pas sur moi pour avoir de la compassion pour une petite effrontée. Je t’ai réveillée à l’heure pour que tu puisses prendre une douche, manger correctement et aller au collège dans les temps. Mais Mademoiselle a préféré dormir. Tu as fait ton choix, assumes le !!! »

Dès qu’il a le dos tourné, je me barre de cette maison de fous et il ne me revoit plus jamais. Je m’habille sans pouvoir me laver (un supplice pour moi) et je file en courant vers le collège ou les potes m’attendaient arrivant comme d’habitude en voiture sauf que la, point de voiture.

« - La voiture de tes vieux est en panne ?

  • Non, c’est plus compliqué, je t’expliquerai Mat.

  • Mais c’est quoi ta tenue ridicule ? Tu n’as plus tes jupes ou tes robes ?

  • Vas-y Mat, lâche moi s’il te plait. »

Mat, c’est le chef de notre groupe. Il est plus vieux que moi et il a redoublé 4 fois déjà. C’est presque un modèle dans notre groupe car de nous 5, c’est le plus vieux et le style de mec à qui on peut tout demander. Il est toujours la pour rendre service. Il a des vues sur moi et je peux dire que c’est réciproque sauf que lui il veut coucher et moi, je ne suis pas prête encore. Il a bientôt 18 ans et il ne voit pas les choses comme moi.

Comme tous les lundis matin, on a sport et on préfère sécher le sport car c’est un cours de naze avec une vieille mégère qui n’a sans doutes jamais courue de sa vie. 2 heures rien que pour ca, Mat dit que c’est 2 heures de perdues si on y va. Alors, nous allons dans le centre commercial juste derrière le bahut pour « zoner » un peu. Tous les 5, nous sommes dans la galerie lorsqu’une main se pose sur mon épaule avec fermeté :

« - Tu ne devrais pas être là à cette heure-ci. (C’est Simon qui m’a surprise en flagrant délit). N’aggrave pas ton cas et suis moi sans faire de bruits.

  • Lâche moi, t’es pas mon père et tu n’as aucun droit sur moi !!

  • Au contraire, j’ai procuration de tes parents pour les aider dans ton éducation et je te conseille de changer de ton avec moi car tu risques de regretter l’Allemagne très vite. »

Sans que je puisse dire plus, il me guide au collège, devant le principal ou il se présente, mandaté par mes parents et il explique sa ligne de conduite pour moi pour finir l’année scolaire. Le principal est heureux qu’une personne réussisse l’exploit de me faire venir en cours malgré moi. Je dois dire qu’il a une pogne de fer et que sa f o r c e lui permet de me maintenir fermement malgré mes mouvements de débats. Pendant l’entretien, il demande au principal une punition qui me fait sortir de moi.

« - Je pense que Coralie a besoin de réapprendre les bases. Pensez-vous qu’il est possible de la faire débarrasser les tables de la cantine et qu’elle aide à la vaisselle après ?

  • Mais ça ne va pas la tête ?

  • De la cantine, non. Mais de la salle de repas des professeurs, oui. Nous pouvons l’intégrer aux tables des enseignants et qu’elle contribue à l’entretien de la salle après. Comme ca, elle ne sera pas mise en difficulté par les autres élèves.

  • Je vous donne mon feu vert pour qu’elle finisse l’année scolaire ainsi. »

Je n’en reviens pas. Je commence même à me demander si l’Allemagne n’aurait pas été mieux pour moi au final. Je suis donc mise à disposition de ma prof de sports qui me voit pour la deuxième fois de l’année scolaire puis j’assiste aux autres cours de la matinée. Le principal en personne vient me chercher pour le repas du midi que je passe en compagnie de tous les professeurs de l’établissement. Comme il a été convenu entre Simon et le principal, je suis obligée de débarrasser les tables puis de passer un coup d’éponge sur celles-ci. On m’épargne la vaisselle pour mon plus grand soulagement. L’après-midi se passe sous étroite surveillance. En effet, je sens l’omniprésence du principal lors des intercours ou de la récréation. A la fin de la journée de cours, je sors de l’établissement en pensant que Simon va être là à m’attendre. Mais à ma très grande surprise, il n’y a personne. Je suis libre de faire ce que bon me semble. Les potes ne manquent pas de me solliciter pour trainer et nous y allons gaiement. Les minutes, puis les heures défilent et il n’est pas loin de 21h00 lorsque je décide de rentre chez Simon puisque c’est le souhait de mes parents. Arrivée, je me trouve face à une porte fermée à clé et je suis contrainte de sonner pour que Simon m’ouvre. A peine la porte ouverte, débute une nouvelle galère.

« - Ca y est, tu as enfin fini tes cours ? Ils vous gardent tard je trouve.

  • Non, c’est juste que j’ai un peu trainé avec les copains…

  • Et tu penses que tu peux rentrer à l’heure que tu veux. Tu n’as donc pas lu le livret que je t’ai donné hier soir.

  • Mais je suis grande enfin, je peux faire ce que je veux…

  • Certainement pas chez moi et encore moins tant que tu seras sous mes ordres. Vue l’heure, le repas est passé et ne penses pas que je vais refaire un service. Ce soir, je vais te montrer ta chambre puisque ta rentrée tardive mérite d’être punie. Je te conseille de me suivre sans dire le moindre mot car tu ne ferais qu’aggraver ton cas. »

Pour la première fois depuis bien longtemps, je me sentais petite et je n’avais clairement pas envie de réagir. Je sentais une autorité nouvelle qui prenait le dessus sur moi mais surtout, j’avais peur de ce qui m’attendait et la suite allait me donner raison. Nous prenons le chemin d’un sous sol et il ouvre un porte qui fait office de cave ni plus, ni moins.

« - Voici ta chambre pour le reste de la semaine. J’ai pris soin d’ajouter le livret que tu n’as pas lue hier soir. Tu as une table pour faire tes devoirs et le matelas pour dormir. La lumière, c’est moi qui la gère. A demain Coralie. »

Je me sens vraiment mal. Cette cave va me servir de chambre pour la semaine et à part faire mes devoirs, je ne vois pas ce que j’ai à faire pour passer le temps. Je décide donc de mettre le nez dans mes livres et cahiers pour la première fois depuis 4-5 ans. Une fois mon travail estimé fini, je prends ce foutu livret et je prends connaissance de ce qu’il contient. Plus j’avance dans cette lecture plus je trouve l’avenir dès plus sombre. Tout y est, de la tenue vestimentaire respectable et l’entretien de la maison en passant par la préparation des repas et a l’aide lors des courses alimentaires. Il y a aussi le respect d’horaires et l’obligation de résultats scolaires sous peine de punitions, le retour à un langage des plus posé et à un respect des gens sans conditions. Je crois rêver à lire cette foutu bible de la boniche moderne. Je parie que ce vieux con m’a prise pour Cendrillon. Je suis sur l’avant dernière page lorsque la lumière s’éteint. Je ne proteste pas et je me déshabille pour dormir. Je ne trouve pas le sommeil immédiatement et je cogite sur ces deux jours qui marquent un tournant dans ma vie.

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